L'aura harmonieuse épouse parfaitement les contours du corps physique pour devenir d'abord ovoïde puis parfaitement sphérique. On constate souvent des décalages de l'aura, vers le haut, vers le bas, vers l'avant, vers l'arrière, vers le côté gauche ou droit. Lorsque l'aura est décalée vers le haut, cela met en évidence une spiritualité trop forte, éloignée du matériel et du concret; a contrario, une aura décalée vers le bas révèle un matérialisme exagéré, détourné des contingences spirituelles.
Les « traitements auriques » sont réellement une affaire de spécialiste.
Tout amateurisme, même de bonne volonté, peut entraîner des lésions irréversibles.
L'aura peut avoir diverses altérations : zones floues, bosses, boursouflures, voire pseudopodes inertes ou mouvants, déchirures, crevasses, trous, aura incomplète avec un tronquage en partie supérieure ou inférieure, voire des deux côtés, aura fragmentée en deux morceaux et plus... Chacune de ces altérations est le signe d'un malaise qu'il faudra identifier et traiter.
La couleur de l'aura idéale est blanche car elle est la parfaite synthèse de toutes les couleurs réunies.
Mais, en réalité, personne n'a une aura parfaitement blanche et lumineuse, mis à part peut-être quelques rares sages qui ont atteint l'harmonie absolue.
L'aura d'un individu présente toujours une couleur dominante dans l'ensemble des couleurs qui le caractérise à un moment donné. C'est cet excès de couleurs qu'il faudra compenser pour tendre à l'équilibre et à l'harmonie.
L’aura traduit l'influence des flux énergétiques captés par le corps et l'esprit ou émis par eux. Cette bulle d'énergies qui entoure le corps physique varie en fonction des états physiques et mentaux du sujet. On peut lire notre vie actuelle à livre ouvert dans cette enveloppe énergétique.
L'aura est composée de quatre corps énergétiques (éthérique, astral, mental, causal)
Chaque corps vibre dans une gamme de fréquences qui lui est propre.
Des problèmes apparaissent dans notre corps physique lorsque des irrégularités vibratoires, trop basses ou trop élevées ne permettant plus une différenciation nette entre deux corps énergétiques.